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 La loi du plus fort

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4 participants
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Fourberass
LEVEL 1 : Bravo! tu viens de tuer ton 1er gobelin
Fourberass


Nombre de messages : 41
Localisation : Grenoble
Date d'inscription : 20/10/2005

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MessageSujet: La loi du plus fort   La loi du plus fort EmptyVen 21 Oct à 11:08

Salut les gens Wink !!!

Marquons chaque section du forum de notre empreinte féline Wink ...Voici donc un texte assez long (et encore ce n'est que la première partie...), se déroulant dans l'univers glauque et impitoyable de Necromunda. J'espère que ça vous plaira...


LA LOI DU PLUS FORT (Partie I):

Une silhouette titubante émergea de la ruelle sombre, faisant quelques pas vers la faible lumière de l’enseigne aux néons de la taverne "La mort brune", du nom de la bière infecte mais décapante que l’on y servait. L’homme aurait pu être n’importe quel ivrogne venu vider ses tripes dans la rue suite à un excès de Whyskar. Mais il n’en était rien, bien que les tripes de Joe Dimaggio ne fussent plus vraiment leur place. Elles pendaient de son abdomen éventré par une balle de Bolter, et leur propriétaire essayait vainement de les remettre en place en grognant de douleur. Soudain dans un dernier gémissement grinçant, il s’écroula lourdement sur le sol, écrasant ses propres entrailles dans un bruit humide et répugnant.

Une autre silhouette, drapée dans un grand manteau de synthécuir noir, émergea alors de la ruelle, un pistolet bolter nonchalamment posé sur l’épaule. L’homme était grand et de forte corpulence, une épaisse barbe noire et hirsute lui mangeait la moitié du visage. Ses yeux disparaissaient sous un chapeau à large bord, et il mâchouillait un vieux cigare éteint à l’aspect peu ragoûtant.
« J’ t'avais prévenu Johnny…l’alcool c’est mauvais pour la santé ! »
L’homme éclata d’un rire gras et sonore, révélant ainsi ses chicos jaune et pourris. Cet homme, si content de son forfait, c’était Gorky Black, le desperado le plus dangereux à l’ouest de l’Abysse. Mauvais comme un mezcal frelaté, il aurait tué père et mère pour quelques crédit et un coup à boire. Il était réputé pour sa duplicité et son manque total de scrupules, aussi malhonnête qu’il puait du bec…
Lentement, il se pencha vers le corps de sa victime, et entreprit de vérifier que celui-ci ne se relèverait jamais…
« On dirait que t’as eu ton compte cette fois mon bon John ! », ricana Black tout en soulageant le cadavre des quelques crédit qu’il avait en poche. Le desperado se releva, comptant son butin avec un rire mesquin. Satisfait, il empocha l’argent et cracha sur le corps encore chaud de Dimaggio avant de s’éloigner dans la grande rue.
« Salut Johnny, et dis bonjour au diable de ma part !!! », le rire rauque et gutturale de Black résonna longuement dans l’obscurité de la rue.

Bienvenue à Dust Falls, une des plus celèbre et plus mal famée colonie du sous-monde, dont l’existence remonte à plusieurs siècles maintenant :
Il y a bien longtemps, un filet de déchets liquides se mit à couler à travers la ruche vers un dôme abandonné. Avec le temps, le filet devint torrent et le toit du dôme s’écroula sous la pression. Les fluides avaient entraîné quantité de débris dans le dôme, recouvrant le sol d’une épaisse couche de sédiments. Finalement l’érosion gagna la base du dôme et provoqua son affaissement. Les déchets s’écoulèrent alors plus bas vers un autre dôme.
Le flot grandit d’année en année, entraînant les débris toujours plus bas et détruisant une série de dômes et créant finalement une chute rugissante et multicolore. Un abîme béant s’enfonçant jusqu’aux niveaux les plus profonds de la ruche.
Aujourd’hui, l’infiltration a disparu et seul un petit filet de poussière continue de couler. Mais la brèche est toujours là, plongeant à travers le sous-monde jusqu’aux niveaux les plus lugubres des bas-fonds. On l’appelle l’Abysse, gouffre profond de deux kilomètres, qui traverse les dômes en lieu et place de l’antique flot de déchets. Perché au bord de l’Abysse se trouve Dust Falls, une colonie importante d’où les gangs ambitieux lancent leurs expéditions vers les profondeurs de la ruche. Leur parcours les mène directement dans les Bas-fonds, jusqu’au lac de boue chimique qui se trouve en bas. C’est aussi le repère des plus dangereux renégats de cette partie du sous-monde, affreux, sales et méchants…

Gorky Black sourit à pleine dent, il était toujours de bonne humeur lorsqu’il venait de descendre quelqu’un. Il ferma les yeux et respira à pleins poumons l’air vicié de la ruelle. L’esprit serein il allait pouvoir retrouver son commanditaire au terrier de « Jane la douce » (qui n’avait de douce que le nom)et par la même occasion, il allait dépenser son butin malhonnêtement acquis dans une bonne bouteille de Whyskar de serpent aveugle. Il remonta la ruelle dans pas nonchalant tout en sifflotant gaiement « The dead man stomp »(le pas de l’homme mort).
Il ricana en repensant à Joe Dimaggio. Ce pauvre Johnny n’avait pas inventé le Plasma : sortir d’un troquet bourré comme un ratskin venant de toucher sa paye, alors que l’on est un des hommes les plus recherché du moment…Black se jura de ne jamais commettre une telle erreur, de toute façon il était pas assez bête pour ça !

Black se fraya un chemin à travers les ruelles quasi désertes de la colonie, il n’y avait plus guère que les gens de son espèce pour oser traîner la nuit dans les rues de Dust Falls (bien qu’il aurait été difficile pour un non autochtone de différencier le jour de la nuit dans le sous-monde…).
Black contempla le paysage familiers des ruelles encombrées de déchets et de flaques de boue grouillantes de vermines et autres sangsues. De-ci de-là gisait des corps dont il aurait été difficile de dire s’ils étaient morts, ou tout simplement des ivrognes ou des indigents dormant à même le sol boueux. Les maisons des colons, faites d’assemblage chaotique de plaques de tôles et autres matériaux diverses, semblaient pouvoir s’écrouler à tout moment. Le ciel était assombrit par les fumée noirâtres vomies en permanence par les manufactures de la guilde des marchands, qui déversaient des flots de produits chimiques et autres immondices vers la Zone, beaucoup plus loin dans les profondeurs.

L’endroit n’avait rien de charmant, mais il plaisait à Gorky Black. Non pour la beauté du paysage et encore moins parce que l’endroit offrait un cadre de vie agréable, mais parce que les gens comme lui, les forts, y régnaient en maître. Dans le sous-monde, seul les plus fort peuvent survivre et imposer leur volonté aux autres. Les faibles eux, meurs et sont dominés toute leur misérable vie. L’Adeptus Arbites était présent dans le sous-monde mais pour des truands retors comme Black, il est facile de contourner les interdits et de se placer au dessus des lois. Dans le sous-monde, il y a deux catégories : Ceux qui ont un pistolet chargé, et ceux qui creuse. Black lui, avait un revolver chargé, et aucun scrupule à s’en servir.

Il fut extirpé de sa rêverie lorsqu’il fut bousculé de plein fouet par un homme chétif et crasseux qui avait émergé d’une ruelle annexe en courant. Le choc fut si violent que l’homme fut projeté à terre. Black, lui, fut à peine ébranlé. L’homme, visiblement paniqué, se releva péniblement en bredouillant un flot d’excuses décousue d’une voix tremblante:
« Désolé monsieur, je suis navré, je ne vous avait pas vu, pardon, je suis vraiment désolé… »
Black enfonça le canon de son arme dans le ventre du pauvre homme, et admira la grande gerbe de sang éclabousser le mur dans un bruit d’explosion étouffée.
« Pas de quoi… »
Il ricana en regardant l’homme tomber à genoux et rendre l’âme dans un gargouillement d’agonie. Black sourit, c’était gratuit, mais c’était bon. Il aimait tuer, cela lui conférait un pouvoir immense, et de ce pouvoir découlait une extase, un sentiment de toute puissance jubilatoire.
Il essuya ses bottes ensanglantées sur le dos du cadavre et reprit sa route.

Enfin, il arriva devant le terrier de « Jane la douce ». Une chaude lueur émergeait de l’intérieur et venait éclairer la rue. Des volutes de fumées sortaient par la porte d’entrée grande ouverte, et le bruit des cris et des conversation résonnaient jusque dans la rue. Il y avait du monde ce soir chez Jane, comme tous les soirs en fait. La patronne régnait sur son établissement d’une main de fer, mais était appréciée de sa clientèle bigarrés et composée essentiellement de malfrats, baroudeurs des désolations, gangers de toutes les maisons, et autres gens dangereux et plus ou moins respectable. Tous étaient des habitués et le tripot était toujours plein. Chaque semaine, des soirées de jeux étaient organisées, et tous les soirs le débit de boisson était colossal, ce qui expliquait les nombreuses rixes qui se produisaient quotidiennement chez Jane.

Black entra et jeta un coup d’œil circulaire dans la vaste salle bondée de monde, il était chez lui…
L’endroit était pleins à craquer, des gueules cassées et des balafrés étaient accoudés à toutes les tables, jouant aux cartes ou se soûlant la gueule avec les alcools les plus forts de la création. Le bruit des conversations était assourdissant et l’odeur dans la salle était infecte. Des relents de sueur, d’urine, de vomis et de tabac âcre flottait dans l’air. Un épais nuage de fumée opaque s’était amoncelé au plafond et diminuait la visibilité à quelques mètres tant ils y avait de fumeurs. Black traversa la salle et se dirigea vers le comptoir où Jane, la patronne, lavait les verres en crachant dedans. Il fit voltiger un ivrogne de son siège et prit sa place au comptoir tout en allumant son vieux cigare. La tenancière s’approcha de Black en lui jetant un regard filtrant, elle n’aimait pas vraiment ce type, mais comme il la payait toujours rubis sur l’ongle elle le tolérait au sein de son établissement.
« Salut Black, qu’est ce que j’te sert ce soir ? », demanda-t-elle d’une voix rendue rauque par l’excès de tabac.
« Whyskar, c’est ma tournée ! Ce soir c’est Joe Dimaggio qui offre !!! », il éclata d’un rire puissant et graveleux qui retentit dans toute la taverne.

Quelques minutes plus tard, Gorky Black se trouvait affalé dans une chaise à l’équilibre précaire, les pieds sur la table et une bouteille à moitié vide à la main. Plusieurs clients l’avait rejoint à sa table et l’écoutait raconter comment il avait dessoudé le pauvre Dimaggio.
« Comme j’te dis mon pote, il est tombé à genoux et il m’a supplié de pas l’tuer, tu vois. Et là, j’lui ais braqué mon flingue sur la tempe, et c’est là qui s’est mit à chialer comme une gonzesse… », il but une gorgée de Whyskar et s’essuya la bouche du revanche de sa manche.
« …c’était pitoyable… »
L’assistance se mit à ricaner mesquinement à l’évocation de la misérable fin de Dimaggio. La plupart d’entre eux était plus ou moins des larbins à la solde de Black, ou des parasites qui tentait de s’attirer vainement ses faveurs. Lui, continuait son récit à grand renfort de gestes théâtrales, revivant avec délectation la mort de Johnny.
« …Et là j’lui ais logé une balle de bolter dans l’bide !!! J’te raconte pas la boucherie, y’avait du sang et des tripes de partout, le pauvre type a crevé la tronche dans la boue. »
Il but une nouvelle gorgée d’alcool et éructa bruyamment.
« D’toute façons, y méritait qu’ça ! Ce pauvre con a pas été assez prudent, tans pis pour lui !!! », satisfait, il montra ses dents jaunies à l’assistance dans un large sourire.
Chacun acquiesa aux propos de Black, et le congratula hypocritement pour son coup d’éclat.

« Salut beau gosse, tu m’offres un verre ? »
Black se retourna vers la voix suave et aguicheuse qui venait de poser cette question. Ce qu’il aperçut lui arracha un grognement de satisfaction. Une magnifique jeune femme légèrement vêtu de syntécuir moulant souriait malicieusement et le fixait d’un regard langoureux .
« Pour sur ma belle ! Tu peux même v’nir t’asseoir sur mes genoux si tu veux… », rétorqua –t-il d’un ton goguenard.
La jeune femme, visiblement peu effarouchée, accepta sans hésitation l’invitation du desperado et vint s’installer sur lui, enroulant ses bras menus autours de son cou épais.
« C’est ton flingue que je sens, ou la joie de me voir ? », demanda-t-elle d’un ton mutin.
Black et ses « amis » explosèrent d’un rire viril et puissant en se jetant des sourires entendus.
« Hé ben, on peut dire que t’as pas froid aux yeux toi ! », ricana Black.
Il la fixait d’un regard concupiscent, et ne pouvait détourner son regard de cette créature de rêve. Nul doute qu’elle avait du se faire réimplanté artificiellement la peau par un techno-chirurgien, quand à ses seins, c’étaient surement des implants. Mais il s’en fichait éperdument, il allait passer du bon temps avec cette poupée, et finir en beauté cette soirée qui avait si bien commencée.
« Raconte-moi comment t’as flingué cette ordure de Dimaggio ! J’avais une dent contre ce fumier, il m’avais obligé à lui faire une faveur gratuitement, si tu vois c’que j’veux dire… », elle termina sa phrase en lui jetant un regard de victime soumise. Le sang de Black se mit à bouillir dans ses veines, cette pépé lui faisait un effet bœuf.
« T’inquiètes ma belle, t’auras même droit aux détails sanglant », ricana-t-il « Jane !!! Une autre bouteille de Whyskar !!! ».

Une heure plus tard, la jeune femme était à moitié nue à califourchon sur un Gorky Black passablement excitée et à moitié conscient tant il avait bu d’alcool. Il avait raconté la mort de Dimaggio à la jeune emoustillée, et de fil en aiguille, Black s’était lancé dans le récit de sa longue et brillante carrière sous les incitations de l’aguichante prostituée. Il avait dévoilé les noms de tous les gars qu’il avait abbatu et comment il l’avait fait, avec force détails horribles. Le cour de son récit avait été ponctué par de nombreuses pauses boisson, ou ils sifflait de grandes lampée de Whyskar et de Torboyo.
Finalement, Black était fatigué à force de s’écouter parler, et à présent il se redressait péniblement sur sa chaise en marmonnant et en eructant.
«Bon…c’est pas l’tout, mais…il est où s’foutut Valens ?… », grogna péniblement Black en massant son cuir chevelu gras et pouilleux.
« Ton commanditaire ? Il a du avoir un empêchement… », lui murmura la jeune fille à l’oreille.
« Eurk ! Quel connard ce mec…J’lui f’rait volontiers la peau à c’te raclure… »
La fille se leva, jetant un regard étrange au desperado, et disparu de son champs de vision avec un sourire malicieux.
« Ben…ou qu’tu vas ma chérie ? », demanda Black d’une voix pâteuse.
Soudain, il sentit le contact dur et glacé du canon d’une arme sur l’arrière de son crâne. Une voix grave et froide retentit alors derrière lui :
« Quand tu verras mon frère en enfer, tu lui diras bonjour de ma part… »
« He merd… »
Avant même que Black n’ait eu le temps de se redresser, une violente détonation résonna dans la salle, et les gens attablé devant lui furent aspergé par du sang, de la cervelle et des morceaux d’os brisés. Un instant plus tard, Gorky Black se retrouvait affalé sur la table, la moitié supérieure de son crâne volatilisée par le tir de bolter.

Franky Dimaggio se tenait droit derrière le corps du desperado, le canon de son arme encore fumant. Son regard était noir comme la nuit, mais un léger rictus se dessinait au coin de ses lèvres.
Un silence de mort régnait maintenant dans la salle, et tous contemplait bouche bée le massacre devant eux. La jeune femme vint se blottir contre l’épaule de son amant et lui murmura doucement à l’oreille :
« Ce salaud à payé, maintenant partons, on n’a plus rien à faire ici… »
Franky acquiesa d’un signe de tête, elle avait raison, il ne fallait pas s’attarder ici. Il rangea son arme à la ceinture, jeta un dernier regard vers l’assemblée des consommateurs, et tourna les talons. Alors qu’il quittait le bar au bras de sa fiancée, Frankie Dimaggio ricana en repensant à l’homme qu’il venait d’abattre froidement. Ce pauvre Black n’avait pas inventé le Plasma…
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Kedester Alidus
Maître Archiviste : Garde les plus obscurs ecrits, menaçant les fondements même du monde...
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MessageSujet: Re: La loi du plus fort   La loi du plus fort EmptyVen 21 Oct à 18:31

On reconnait un joueur de Necromunda !!!! Et si t'en es pas un , tu as le mérite d'avoir un don !
Que de respect dans le fluff du 41e millénaire, et surtout en ce qui concerne l'univers des cités ruches ! Rien à redire, c'est que du bonheur, c'est bien ficelé

Grandiose : du Sergio Leone 40000 ! thumleft
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Warphil
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Warphil


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MessageSujet: Re: La loi du plus fort   La loi du plus fort EmptySam 22 Oct à 17:16

MAGNIFIQUE
nan franchement on decroche pas du debut a la fin! pourtant dieu sait que le texte est long! Y a une suite?
Bon sinon je n'ai pas noté de fautes etc... Sinon que quelques fois, tu reutilise le jargon den notre epoque genre "revolver" et j'en ai noté d'autre mais m'en rapelle plus Mr.Red
En tout cas glauque a souhait! encore bravo
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Nexus
LEVEL 15 : Courage! Apres avoir ete contaminé par nurgle, vous vous amputez un doigt de pied
Nexus


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MessageSujet: Re: La loi du plus fort   La loi du plus fort EmptyMer 2 Nov à 19:43

Waw Shocked
Des textes que j'ai lu aujourd'hui c'est de loin le meilleur...
J'adore la redondance avec "ce pauvre machin n'avait pas inventé le plasma"
Le genre de détail qui donne au texte une saveur particulière.
Je m'étonne que Black n'est pas détroussé le gars à qui il colle une balle dans le ventre, et que Black ait un pistolet bolter encore plus...
Quand je vois que certains sergent GI n'ont qu'un pistolet laser...C'est pas moins que le pistolet bolter?
Enfin bon texte vraiment génial, clap clap clap!
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MessageSujet: Re: La loi du plus fort   La loi du plus fort Empty

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